Mesures d’auto-thérapie contre l’angoisse et la dépression
Elnora Van Winkle, Chargée de recherches scientifiques à la retraite, Millhauser Laboratories,
Université de New York, faculté de médecine. Murray Hill Station, P.O. Box 893, New York, NY 10156
LA BIOLOGIE DES EMOTIONS
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Mesures d’auto-thérapie contre l’angoisse et la dépression
La colère réprimée cause l'angoisse et la dépression.
Tous les enfants viennent au monde avec une saine capacité
à se mettre en colère, qui fait partie de l’instinct
animal de combat ou de fuite. Quand nos parents nous
maltraitent ou nous négligent émotionnellement, ils nous
contraignent généralement à supprimer notre légitime
colère. Il est abusif. Même la fameuse phrase pour
consoler « Chut ! Ce n’est rien, ne pleure plus ! » sert
les intérêts des parents, pas ceux de l’enfant. Penser que
les besoins des enfants peuvent être satisfaits par des
relations avec des enfants de leur âge est une illusion
chère aux cervaux intoxiqués. Les co-dépendances sont les
réactivations de relations enfantines formées dans le but
inconscient de libérer des sentiments de colère ou de
chagrin réprimés. Nous choisissons souvent des amours, des
chefs, des amis qui évoquent nos parents et qui nous
laissent malheureux et insatisfaits.
La toxicose du cerveau est la cause des désordres
émotionnels
Il y a une inondation de colère dans le cerveau de
l'humanité. Quand la colère est réprimée, les
neurotransmetteurs excédentaires et d’autres substances
neurochimiques toxiques bouchent les neurones et
submergent le cerveau (1). Lors de crises périodiques de
désintoxication, ces substances, qui représentent la
colère réprimée, sont libérées aux synapses et provoquent
des symptômes d’excitation du système nerveux qui peuvent
aller d’une discrète anxiété à un état maniaque, en
passant par la fureur contre des innocents. La dépression
suit. Parce que les circuits neuraux où sont mémorisés les
souvenirs des mauvais traitements se sont bouchés lors de
la répression de la colère, la colère se trouve
aujourd’hui souvent dirigée à travers les mauvais circuits
neuraux – faux neurones pourrait-on dire – contre les
mauvaises personnes, ou contre soi-même sous forme de
sentiments de culpabilité, voire d’idées suicidaires.
Quand les pensées et les émotions sont inadéquats –
c’est-à-dire ne correspondent pas à la réalité
d’aujourd’hui mais à celle de l’enfance – la pensée peut
glisser vers l’illusion, voire la psychose. Mais ces
symptômes, qui sont eux-mêmes des crises de
désintoxication, sont des tentatives de guérison –
l’ouverture des vannes libérant la colère réprimée – et si
la colère est re-dirigée des mauvais circuits neuraux vers
les circuits neuraux où sont mémorisés les situations qui
avaient suscité la colère légitime, davantage de vannes
peuvent s’ouvrir et venir accélérer le processus de
guérison. Ce processus est une succession périodique de
crises de désintoxication et quand la marée de toxines est
éliminée, la récupération est quasiment totale. Le besoin
incontrôlable de stimulants, qui fait le lit des
toxico-dépendances, ne cessera que le jour où le processus
de désintoxication sera terminé, parce que, comme selon le
principe utilisé en homéopathie, le corps réclame des
stimulants pour déclencher des crises de désintoxication.
Les mesures d’auto-thérapie accélèrent la guérison
Cette action de re-diriger la colère soutien le processus
de désintoxication, qui peut être grandement accéléré si
nous saisissons chaque symptôme d’excitation nerveuse
comme le signe que de la colère cherche à émerger. Le
symptôme nerveux est une crise de désintoxication, et une
occasion de libérer et de re-diriger la colère en frappant
un oreiller et en hurlant contre les parents et autres
adultes abusifs tout en se les représentant mentalement ou
en pensant à eux. Ce n’est PAS une attaque contre eux mais
contre leur maladie. La colère doit être libérée et re-dirigée
à chaque signe d’anxiété, de peur irrationnelle,
d’attaques de panique, de pensées et de comportements
obsessionnels, d’exaltation, de sentiments paranoïaques ou
de rancœur. Le cœur qui bat à tout rompre dans la poitrine
(sans effort physique) est un signe physique que de la
colère cherche à émerger, et beaucoup de courage est
nécessaire pour traverser la peur et entrer en contact
avec la colère. D’autres symptômes peuvent être l’envie
irrésistible de stimulants, chimiques ou psychologiques.
Cela peut être de la culpabilisation ou de la
dévalorisation de soi ou des envies de suicide ; toutes
ces formes sont de la colère tournée contre soi-même. Les
colères mal appropriées, la fureur ou un comportement
agressif contre quelqu’un qui n’a rien fait pour provoquer
cette colère, ou en tout cas rien qui justifie son ampleur.
Si la colère est intense et hors de proportion dans une
situation d’aujourd’hui, il y a fort à parier qu’une
grande partie d’entre elle est de la colère réprimée lors
d’anciens traumatismes et qu’il est nécessaire de la re-diriger
contre les responsables des situations abusives. Il n’est
pas nécessaire de revivre les vieux traumatismes. Les
caractéristiques des responsables d’abus similaires, tels
que les représentants masculin ou féminin de l’autorité
parentale, sont mémorisés dans ces zones neurales
communes, et le processus de désintoxication est accéléré
lorsque toutes les figures d’autorité abusives sont
considérées comme un ensemble lors d’une décharge re-dirigée
de la colère. Elle peuvent inclure la parenté élargie, les
instituteurs, les représentants d’une Eglise qui nous ont
imposé de réprimer nos émotions, les chefs, les matons,
les officiers, les médecins, les partenaires ou les amis.
Même la notion de Dieu assimilée à une autorité parentale
est emmagasinée de manière inextricable à ceux qui nous
ont fait souffrir dans l’enfance et c’est utile de pouvoir
se fâcher contre Dieu également. Le vrai Dieu, et non
l’image que nous en avons, nous aide à guérir. Il est
important d’expérimenter cette ancienne colère comme lors
d’une thérapie ou d’une thérapie de groupe et de se garder
de la faire subir à des personnes innocentes. Si cela
s’avère nécessaire dans les relations actuelles, la colère
peut ensuite être exprimée calmement lorsqu’elle a pu être
libérée en cognant sur des coussins.
Les variations d’humeur peuvent s’amplifier mais
elles sont temporaires
Il y a souvent un «exaltation» après la décharge de colère,
suivi par un état dépressif et un sommeil de plomb.
Décharger la colère donne un «coup-de-fouet»
antidépresseur, de courte durée. On ne peut pas faire
grand chose contre l’état dépressif qui suit, sinon garder
à l’esprit qu’il va disparaître de lui-même. Décharger et
re-diriger la colère débouche souvent sur des sentiments
de chagrin, et il est important de pleurer et de ressentir
ce chagrin également, qui peut devenir très intense vers
la fin du processus de désintoxication. Des maux de têtes,
une transpiration importante, et de la fièvre sont
couramment observés.
L’après raz-de-marée peut être atteint rapidement
L’après raz-de-marée est atteint lorsque l’essentiel de la
colère réprimée à été libérée. Il n’y a pas de guérison
instantanée mais plutôt une libération fondamentale de
l’angoisse et de l’état dépressif. Après la
publication de l’article scientifique exposant cette
découverte sur Internet (2), de nombreuses personnes ayant
commencé à utiliser cette méthode d’autothérapie ont
atteint la fin du processus de désintoxication en un court
laps de temps. Les personnes ayant atteint l’état que
j’appelle « après raz-de-marée » partagent les
caractéristiques des personnes en bonne santé émotionnelle
telles que décrites par Arthur Janov (3). Elles se sentent
vivantes et contentes, sont amicales et cependant
apprécient également la solitude, montrent de la patience
mais ne se laissent pas marcher sur les pieds, peuvent se
sentir tristes mais pas déprimées, et peuvent ressentir
une véritable joie. Ils forment des relations plus
saines, ne ressentent plus de compulsions, et sont
incapables de violence. Elles ont une posture sans raideur,
s’endorment facilement, et n’ont plus de sommeil de plomb.
Elles travaillent lorsque c’est nécessaire, et recherche
le plaisir quand elles ne travaillent pas. Elles ont une
excellente mémoire à court terme, une bonne capacité de
concentration et leur QI s’élève parfois. Beaucoup de
souvenirs d’enfance reviennent sans la douleur qui leur
était attachée. L’action de pardonner ne nécessite plus
d’effort mais au contraire le sentiment de compassion
vient naturellement après que les toxines sont évacuées,
et les relations avec les parents se normalisent souvent.
Il reste important de ressentir la colère quand elle est
justifiée et de l’exprimer de manière adéquate, sans quoi
les neurones peuvent à nouveaux être submergés de toxines.
La colère est douce et redeviennent liées aux situations
actuelles, bien qu’il puisse se présenter de temps à autre
une vieille émotion résiduelle, parce que, comme après
toute inondation, il demeure un certain temps une «flaque
de boue».
La santé physique est améliorée
La toxicose du cerveau cause une alternance de sur-stimulation
/ sous-stimulation de la glande hypophyse et d’autres
organes de régulation, résultant en diverse affections
périphériques. Quand la désintoxication est complétée, les
maladies psychosomatiques, aussi appelées neurogènes,
disparaissent. La santé physique se trouve grandement
améliorée parce que le système nerveux est débarrassés du
surplus de toxines bloquées et peut naturellement faire
sont travail journalier de désintoxication. Cela signifie
que les état grippaux sont rares, et sauf s’il a eu des
dommages organiques irréversibles, les maux physiques
disparaissent. Les personnes qui ont suivi un processus de
désintoxication de ce type ne tolèrent souvent pas bien
les aliments morts et la prise de stimulants, et se
tournent naturellement vers une nutrition saine et des
aliments naturels.
La libération de désordres émotionnels et une
euphorie véritable sont permanentes
Quand le processus de désintoxication est terminé, la
stabilité émotionnelle et la santé physique sont
restaurées. Les dépendances disparaissent. Quand la vague
de toxines est éliminée il s’installe une douce euphorie
très durable, qu’il est impossible de confondre avec de
l’exaltation, et qui se définit le mieux comme une absence
d’anxiété et de détresse. Nous sommes re-nés, avec la
capacité d’aimer et d’être aimés.
References
1.Van Winkle, E. The toxic mind: the biology of mental
illness and violence, Medical Hypotheses 2000; 55(4):
356-368.
2.
http://www.redirectingselftherapy.com
http://www.gocure.com
http://primal-page.com/toxicmnd.htm
3. Janov, A. The Anatomy of Mental Illness. London:
SphereBooks Ltd,1971.
Avertissement : Ces mesures d’auto-thérapie sont de même nature que les mesures proposées par des groupe d’entraide. Elles sont sûres si la colère est re-dirigée et si l’état de santé de la personne ne présente pas d’atteinte grave. Je décline toute responsabilité en cas de mauvaise compréhension des concepts biologiques exposés. Si vous utilisez ces mesures, vous le faites à vos risques et périls. Cet article ne suggère en aucun cas de cesser un thérapie ou l’usage de médicaments prescrits par votre médecin. 9/9/99
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Note sur l’auteur
Je n’ai pas été une enfant martyre selon les normes de
notre société, cependant j’étais régulièrement laissée
seule dans mon berceau pour « faire mes rages » et j’ai dû
longtemps écouter mon père fulminer, sinon contre moi en
tous cas contre ma mère, mon frère, et ma sœur. Très tôt,
j’ai appris à réprimer ma colère légitime. Je fus une
enfant autiste et, dans ma vingtaine, je fus diagnostiquée
schizophrène et enfermée dans le service pour cas violents
d’un hôpital psychiatrique. Je passai là le plus clair de
mon temps dans la chambre capitonnée à hurler ma rage
contre ma camisole de force, le reste du temps de
retournais ma colère contre moi dans une fureur suicidaire.
L’un des électrochocs que je reçus pendant cette période
ne m’ayant pas rendu inconsciente, je sentis toute la
douleur et la panique provoquées par la circulation de
l’électricité dans mon corps. C’était comme d’être
électrocuté, mais de rester en vie. Pendant les trente
années qui ont suivi, j’ai été hospitalisée dans plus de
vingt établissements psychiatriques, mon diagnostic
subissant une perpétuelle révision, et j’ai absorbé à peu
près tous les médicaments prescrits en psychiatrie. A
l’âge de 60 ans le diagnostic était celui d’une dépression
chronique très grave, puis de psychose maniaco-dépressive,
et je montrais des symptômes de la maladie d’Alzheimer et
de la maladie de Parkinson. Pendant toutes ces années
d’hospitalisation, seule une infirmière eut un jour l’idée
de ce dont j’avais besoin. Elle vint dans la chambre où
j’étais attachée à mon lit, défit mes liens et me donna un
plein plateau de vaisselle en plastique. « Lancez-les
contre le mur, mon cœur » dit-elle. Si j’avais su imaginer
les visages de mes parents contre ce mur, j’aurais
peut-être pu à ce moment précis commencer à guérir. Je
voulais être enfermée dans ces hôpitaux. Je ne savais pas
pourquoi, mais c’était la mise en scène d’une sorte de
fantasme – une façon de revivre la douloureuse prison de
mon premier berceau – et une occasion de laisser sortir ma
très ancienne et légitime colère contre mes parents. Quand
je compris cet aspect et que j’utilisai les mesures
d’auto-thérapie, je me mis à progresser très vite et
j’atteignis rapidement l’état post-raz-de-marée. Veuillez
étudier mon article attentivement avant de commencer, et
écrivez-moi (en Anglais s’il-vous-plaît) pour me dire
combien de temps vous a été nécessaire pour dépasser le
raz-de-marée.
Le cerveau intoxiqué : la biologie des maladies
psychiques et de la violence (in press, Medical
Hypotheses)
Résumé : La suppression systématique des émotions liées au
réflexe de combat ou de fuite conduit à l’atrophie et à la
toxicose endogène des nerfs noradrénalins. Des niveaux
artificiellement bas de noradrénaline aux synapses sont
associés aux états dépressifs. A l’occasion de crises
cycliques de désintoxication, la noradrénaline
excédentaire ainsi que d’autres métabolites accumulés
inondent les synapses. L’adrénaline sur-stimule les
neurones post-synaptiques et cause des symptômes allant de
l’anxiété sourde à des comportements violents. Certains
autres métabolites, comme la dopamine, l’adrénaline, la
sérotonine, l’acide gamma-aminobutyrique, les peptides,
les acides aminés, et une variété d’autres sous-produits
ou produits de réactions biochimiques se trouvent liés par
les récepteurs noradrénalins et perturbent la circulation
des flux neuraux. Quand ils empêchent la noradrénaline de
stimuler les neurones post-synaptiques, la dépression
revient. Nous proposons un modèle pour le mécanisme de
liaison de la noradrénaline et pour les effets des autres
métabolites, dont beaucoup ont été pris à tort pour des
neurotransmetteurs. Les diverses protéines réceptrices que
l’on croyait spécifiques à de faux neurotransmetteurs
pourraient en revanche être le système de codage de
souvenirs spécifiques. Les aspects cycliques des états
dépressifs ou exaltés sont caractéristiques de presque
tous les désordres nerveux et mentaux, y compris les
toxicomanies, la maladie d’Alzheimer, la maladie de
Parkinson et les maladies psychosomatiques. Quand les
toxines s’accumulent dans des régions du cerveau qui
contrôlent des activités spécifiques, les symptômes
observés sont en relation avec ces activités, se
présentant comme des maladies distinctes qui représentent
en fait le même processus de désintoxication. La guérison
peut être facilitée par la thérapie et des mesures
d’auto-thérapie qui comprennent l’expression et la
re-direction d’émotions réprimées.
Temoignages
« J’ai été malade mentale et enfermée dans les quartiers de haute sécurité des hôpitaux psychiatriques pendant de nombreuses années. J’étais gravement dépendante de plusieurs substances médicamenteuses et je souffrais d’intenses angoisses et de dépression. J’étais enfermée dans un schéma auto-destructeur se manifestant par une fureur suicidaire. A l’âge de 70 ans, après avoir utilisé ma méthode d’auto-thérapie pendant quelques mois, mes angoisses et ma dépression ont disparu. Après une année, je me suis retrouvée libre de tout problème émotionnel et de toute dépendance. J’éprouve aujourd’hui toutes les émotions que j’étais capable d’éprouver à la naissance : la joie, le chagrin, la colère. Ma vie est très paisible. » Ellie
« J’avais cherché sans fin une aide pour en finir avec la dépression, la crainte, la peur, et le vide de ma vie. J’ai enfin reçu la permission d’exprimer ma colère d’une manière qui ne blesse personne et qui ne me conduise pas à me sentir mauvaise, fautive, coupable ou pire. Je peux sentir les toxines s’évacuer. Cela fonctionne. Je suis si enthousiasmée. Tout ça sonne juste. Je me sens vivre pour la première fois de ma vie. Je ressens de la joie, et un certain bien-être et un soulagement. Votre théorie est brillante, simple et belle » Cathy
« Ce qui a fait la différence pour moi, ç’a été le concept de re-direction de la colère… le fait de la rendre à ceux qui l’avaient suscitée. Cela n’a pas tout arrangé dans mon mariage – mais ça l’a sauvé. Nous étions en train de négocier une séparation. Devinez ce qui aurait constitué la principale cause de notre divorce ? « Accès de violence incontrôlables » de ma part. J’étais dépressive chronique depuis 25 ans. Maintenant il y a 8 mois que je ne me suis pas sentie déprimée. Je n’arrive pas à croire que je dise cela, moi qui ai tourné en rond dans mes efforts thérapeutiques pendant 10 ans. Maintenant j’ai cette confiance que mon corps et mon âme connaissent le chemin de guérison. » Lynn
« J’ai été touché par votre histoire. Elle est tout à fait merveilleuse, et elle en dit beaucoup sur l’efficacité de la méthode. J’ai fait une grave dépression qui m’a presque coûté la vie. J’étais désespéré. J’ai essayé de hurler et de frapper des objets inanimés pour transformer la dépression en colère et les résultats sont étonnants. La dépression est immédiatement soulagée. J’ai retrouvé ma colère réprimée contre ma mère, et travaillé à la vivre si efficacement que je comprends réellement d’où vous est venu le terme de « raz-de-marée ». Je me sens beaucoup mieux. J’ai vécu mes pulsions suicidaires les pires alors que j’étais sous anti-dépresseurs. Je n’ai plus besoin d’anti-dépresseurs. Je n’ai plus envie de regarder des films violents à la TV. Je suis incapable d’exprimer correctement combien je pense important le travail que vous accomplissez actuellement. Vous faites un effort monumental pour sauver le monde et les âmes qui l’habitent. » Frank
« Belle formulation bien exprimée » Critique, The
Journal of Theoretical Biology
« Pensée d’avant-guarde. J’écris moi-même depuis plusieurs
décennies au sujet du processus cyclique qui conduit les
nations à se sentir intoxiquées de l’intérieur et à
recourir périodiquement à la guerre pour se purifier »
Lloyd de Mause, historien, sociologue
« Très impressionnant… prometteur. » Editeur,
Psychophysiologie
« Irrésistible et fascinant. » Critique, Psychiatrie
« Magnifique, effrayant » Nutritionniste
« Vous aidez beaucoup de gens » Psychiatre
« J’écrirai un article là-dessus pour notre journal de la
faculté de psychologie » Enseignant en psychologie
« Quand j’ai lu le résumé de l’article, ça m’a fait comme
si d’un seul coup toutes les pièces du puzzle se mettaient
en place dans mon esprit. Des milliers de gens vont le
lire. Je suis décidé à incorporer ces principes dans ma
méthode thérapeutique et je passerai l’article autour de
moi à des amis qui travaillent dans les prisons. »
Psychothérapeutes
Le mot du Nouveau Testament pour le péché, «hamartia »,
vient du tir à l’arc et signifie : manquer la cible – Les
colères mal appropriées! Le commandement biblique, dans
l’Ancien et dans le Nouveau Testament, dit : « Exprime ta
colère et ne pèche pas ».
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Expert translation to French by Thérèse Dubuis